Vous êtes angoissé à l’idée de reprendre le travail le lundi ?
Agissez avant que cette angoisse n’envahisse tous les matins, voir toutes vos journées.
Car, arrivé à ce stade-là, la remontée est difficile, et longue : vous fleuretez avec le burn out.
D’après une étude menée par le prestataire de service RH Agilitas, plus de la moitié (51,2%) des Belges se sentent régulièrement mal dans leur travail. Un Belge sur dix affirme ressentir ce mal-être de manière quotidienne et plus d’un quart (26,3%) des Belges est angoissé dès le dimanche soir à l’idée de reprendre le travail le jour suivant.
Cette étude précise aussi que 73% des travailleurs insatisfaits ne font aucune démarche pour trouver un nouvel emploi.
Et pourtant, il est possible de redevenir acteur de son parcours professionnel.
Voici quelques pistes, en vrac :
Participer à des ateliers de gestion du stress, de pleine conscience,…
Job crafter son travail. C’est-à-dire essayer de le transformer pour lui donner plus de sens. (je vous en dirai plus très bientôt, car je vais me former à cette approche).
Participer à des ateliers d’organisation du travail de gestion du temps (vous éviterez de vous faire manger par des activités chronophages), apprendre à se fixer des objectifs réalistes.
S’interroger sur les valeurs de votre employeur. Avez-vous encore quelque chose en commun ?
Se faire accompagner pour vous reconnecter avec vos compétences, et envisager de les faire évoluer dans un autre emploi (les bilans de compétence répondent à cet objectif).
Faire le point sur votre situation financière, de quoi avez-vous réellement besoin pour vivre, pour tenir votre budget en équilibre ? Faire l’impasse sur des vacances lointaines (ou postposer l’achat d’une nouvelle voiture, ou… ) une année, est-ce grave ? Ce budget pourrait être investi dans une formation, un bilan de compétences, …
Faire le premier pas, prendre une décision pour évoluer, apporte déjà un certain réconfort, une solution est toujours possible. Rien de pire que de ne rien faire. Mais cela peut faire peur, car c’est ouvrir une porte vers l’inconnu.
Albert Einstein disait : La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre, si l’on n’avance pas, on tombe.
Alors, quelle va être votre première démarche pour vous sortir de cette situation ?
N’hésitez pas à me contacter pour réfléchir ensemble… Pour me contacter, cliquez ici !
Bénédicte